Les réponses de la science et des Ecritures saintes
L'homme, d'où vient-il ? est un ouvrage de réflexion dont le but est de faire apparaître et ressortir le caractère suranné des anciennes oppositions entre science et religion et de montrer, au contraire, l'existence d'une compatibilité. Tout lecteur de ce livre, croyant ou athée, trouvera ainsi des éléments concrets, malheureusement trop souvent ignorés, qui lui permettront de réévaluer, sur le problème de l'origine de l'homme, les apports des enseignements réels de la science - dégagés de toute idéologie - et les acquisitions modernes sur les Ecritures saintes. Il est exceptionnel qu'un médecin se penche sur les Ecritures des religions monothéistes, comme l'a fait le Dr Bucaille, qui, à l'âge de cinquante ans, a appris l'arabe pour se pénétrer du Coran dans le texte original. Après la parution, en 1976, de La Bible, le Coran et la science, best-seller en France et dans le monde musulman, Maurice Bucaille est devenu un commentateur autorisé des Livres Saints, et en particulier du Coran, qu'il a pu lire à la lumière de ses vastes connaissances scientifiques. De l'Afrique à l'Indonésie, partout où son livre a été traduit, publié et diffusé, il s'est acquis une vaste renommée. Sur l'origine de l'homme, Maurice Bucaille a collecté depuis plus de quarante ans de données relevant de disciplines multiples, attachant une valeur particulière à celles de la génétique moderne et de la biologie moléculaire. Il en a fait une synthèse dont la précision et la largeur auraient, à elles seules, justifié une publication. Il y a ajouté ce que nous enseignent sur le même sujet les Livres saints du Judaïsme, du Christianisme et de l'Islam, dans le but à la fois de comparer l'enseignement de chacune des Ecritures avec la science et de confronter leurs données d'ensemble avec les connaissances bien établies du savoir. Esprit positif, épris du concret, Maurice Bucaille ne ménage pas sa critique envers des théories apparemment scientifiques, mais où transparaît un fil conducteur idéologique, tout comme envers les abstractions sans fondement matériel ou les conceptions des Ecritures guidées par une apologétique désuète.